La raison de la perte d’emploi du membre du syndicat était la constatation qu’une pension convenue n’avait pas été versée.
La femme, qui travaillait comme assistante financière, avait auparavant reçu une pension mensuelle de 500 SEK, mais recevrait désormais le double, par accord verbal. Constatant que l’argent n’était pas versé, elle le signala, ce qui conduisit à une rencontre avec les représentants de l’entreprise.
Au cours de la rencontre, elle a abordé la pension impayée, les difficultés à prendre des vacances et la possibilité de recevoir une paye de vacances au lieu de vacances, ainsi que des questions liées à l’environnement de travail.
Une nouvelle réunion a alors été prévue, qui, selon la femme, porterait sur le régime de retraite manqué.
Ton menaçant et insultant
Au lieu de cela, la réunion est devenue houleuse, avec un ton haut perché et un ton interne à l’entreprise que le membre – selon le procès – a trouvé « menaçant et offensant ». Le représentant de l’entreprise a mentionné qu’il y aura des changements dans l’entreprise avec une réduction des effectifs imminente.
La femme s’est déclarée malade le lendemain. Lorsqu’elle a informé ses superviseurs une semaine plus tard que le congé de maladie serait prolongé, elle a reçu un message de l’entreprise indiquant qu’ils comprenaient le congé de maladie prolongé comme un licenciement de l’épouse et ont joint la fiche de paie finale.
Le procès indique que le syndicat considérait les actions de l’entreprise comme un congédiement du membre. Le syndicat a négocié avec l’entreprise, mais celles-ci se sont soldées par un désaccord. Le syndicat poursuit maintenant l’entreprise pour dommages financiers et violation du LAS.
« Écrivain. Érudit total du café. Amoureux des voyages. Penseur. Troublemaker. Praticien du bacon hardcore. »