Tous les groupes professionnels peuvent être couverts par l’obligation de déclarer le travail non déclaré

– Il me serait difficile de mener à bien ma mission.

Ça dit Sociologue scolaire Erika Söderberg à Lärjeskolan à Göteborg sur l’obligation de signaler les sans-papiers telle que proposée par les partis au pouvoir dans l’accord Tidö.

L’idée est que cela inclura les fonctionnaires, mais on ne sait pas quelles professions.

La ministre des migrations Maria Malmer Stenergard (M) et le président du comité judiciaire Richard Jomshof (SD) cherchaient des réponses au travail. Les deux ont refusé les entretiens mais ont offert des réponses écrites.

Lorsqu’on lui a demandé qui serait tenu de signaler, Maria Malmer Stenergard répond qu’elle veut attendre une enquête à venir. Richard Jomshof, en revanche, répond « tous les fonctionnaires ».

Peut entrer en conflit avec « Valeurs de l’offre ».

Cependant, il pense qu’il peut y avoir des situations où le signalement irait à l’encontre de « valeurs douloureuses », en prenant les soins de santé comme exemple.

Il veut enquêter là-dessus, tout comme le ministre.

Lorsqu’on lui demande quelles sont les « valeurs douloureuses », il répond « généralement un danger pour la vie et la santé ».

Bibliothécaires, travailleurs sociaux et enseignants. Y a-t-il des professions qui pourraient être couvertes?
« En gros oui. Mais encore une fois : cela doit dépendre des circonstances individuelles et fera l’objet d’une enquête plus approfondie », écrit Richard Jomshof.

« Une question de confiance »

Bibliothécaire Moa Stockstad est l’un des critiques de la proposition. Elle croit que cela irait à l’encontre de sa mission, citant la Loi sur les bibliothèques qui stipule que l’activité doit être ouverte à tous.

Lorsqu’on lui demande comment elle voit la proposition en conflit avec d’autres lois, la ministre de la migration répond qu’il est important de contrôler qui se trouve en Suède afin de lutter contre la société de l’ombre.

« C’est une question de confiance dans la législation suédoise en matière d’immigration, d’équité et d’égalité devant la loi : si vous avez reçu une décision qui dit que vous n’avez pas le droit de résider en Suède, elle doit être suivie. »

Richard Jomshof souligne qu’il s’agit de changer la loi.

« Il est donc naturel que la proposition aille à l’encontre de la législation d’aujourd’hui, et réformer signifie changer la législation sous-jacente à l’opération. On peut également se demander si l’accessibilité est vraiment destinée à ceux qui n’ont pas le droit de résider en Suède.

« La société de l’ombre a été autorisée à se développer »

L’avocate Hanna Scott, la Les travaux précédemment interrogés sur le sujetestime que la proposition viole la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant.

Richard Jomshof dit que ce genre de questions devrait être étudiée. Le ministre de la migration qu’il est important que les règles soient légales.

« Ces dernières années, la société de l’ombre a été autorisée à se développer, les gens sont exploités et, enfin et surtout, les enfants sont maltraités. Le gouvernement entend prendre un certain nombre de mesures pour les réduire. »

Aurélie Jacques

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