Pour les SVT boussole de choix Que les partis du Reichstag commentent la déclaration « Le service public devrait avoir un mandat plus restreint ».
Une « très bonne suggestion », estime SD, qui souhaite que le service public se concentre sur l’information sociale et l’actualité plutôt que sur le divertissement.
– Il existe certains programmes que vous ne pouvez pas créer vous-même. Je pense aux programmes de rencontres pour les prêtres et aux programmes de perte de poids pour chiens qui pourraient être déchargés sur des acteurs commerciaux, explique Bo Broman, porte-parole de la politique culturelle du parti.
SD souhaite également ouvrir une enquête pour voir si SVT, SR et UR pourraient être fusionnés en une seule société commune, ce qui, selon eux, pourrait économiser de l’argent.
– Cela signifie que deux départements éditoriaux deviendraient un, et trois organisations du personnel et trois PDG deviendraient un. C’est une façon de le rendre un peu plus étroit.
A : « Devrait être la largeur et la pointe »
Les sociaux-démocrates considèrent un rétrécissement du mandat de service public comme une « très mauvaise suggestion ».
– Il doit être large et pointu. Cela signifie tout, du journalisme et des documentaires socialement pertinents au cinéma et au divertissement. En fin de compte, c’est une question d’égalité : tout le monde ne peut pas se permettre de payer chaque mois pour des services de streaming différents, déclare la ministre de la Culture Jeanette Gustafsdotter (S).
S ne voit pas que la société bénéficierait d’une fusion de SVT, SR et UR.
– Il ne doit jamais être question de financer des baisses d’impôts ou de réaliser des économies importantes dans le fonctionnement des programmes, précise Jeanette Gustafsdotter.
Propose la protection de la constitution
Les sociaux-démocrates (ainsi que V, MP, C et L) souhaitent que l’indépendance des entreprises publiques soit constitutionnellement protégée. Le sujet est devenu plus d’actualité ces dernières années, après que les médias d’État en Pologne, en Hongrie et en Russie, entre autres, ont agi comme organes de propagande pour les gouvernements des pays.
– Il est extrêmement important de s’assurer que les politiciens n’interfèrent pas avec le contenu, dit Jeanette Gustafsdotter (S).
Mais le SD ne pense pas que la protection de la constitution soit la bonne voie à suivre. La société des médias évolue rapidement et le risque est que le service public soit coincé dans un modèle inefficace, argumente Bo Broman (SD).
– Faut-il vraiment protéger constitutionnellement la fonction publique que nous avons aujourd’hui alors que nous n’avons aucune idée de ce que sera la société dans vingt ans ?
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