La façon dont l’IA influence le comportement d’achat est révélée dans une nouvelle enquête mondiale, et la Suède se démarque. Huit Suédois sur dix déclarent comprendre l’IA, ce qui représente un pourcentage plus élevé que dans le monde, mais seulement 36 % pensent que l’IA peut améliorer l’expérience d’achat. Cela montre l’enquête récurrente auprès des consommateurs d’EY auprès de 21 000 répondants dans 27 pays.
Pour la douzième fois, la société de conseil et d’audit EY mène l’enquête « EY Future Consumer Index », dans laquelle les consommateurs du monde entier et de Suède sont interrogés sur leur comportement de consommation en relation avec les facteurs environnementaux actuels. Les enquêtes ont montré que les consommateurs modifient rapidement leur consommation en fonction des événements du monde extérieur.
La plus grande préoccupation des consommateurs aujourd’hui est la hausse des prix des denrées alimentaires, puis des prix de l’énergie. En Suède, 94 % sont préoccupés par la hausse du coût de la vie, et la proportion de ceux qui sont très préoccupés est plus élevée que l’année dernière. Pour la première fois, l’enquête comprend également des questions sur l’intelligence artificielle (IA) Et c’est là que la Suède se démarque.
– Les consommateurs utilisent des outils numériques qui permettent d’économiser du temps ou de l’argent, mais selon notre enquête, en Suède, nous sommes plus préoccupés par l’impact de l’IA que les consommateurs du reste du monde. Si l’IA est utilisée correctement, il existe un grand potentiel pour mieux répondre aux attentes des consommateurs. « En même temps, il est important de trouver un bon équilibre afin que cela ressemble à de la valeur pour le client et ne se sente pas trop insistant », explique Malin Andrée, associée et responsable des biens de consommation et de la vente au détail chez EY.
Peu de Suédois font confiance à l’IA pour prendre des décisions d’achat
Selon l’enquête, les Suédois sont moins convaincus que d’autres pays que l’IA peut améliorer l’expérience d’achat. Seuls 36 % font confiance à l’IA, contre 58 % des répondants dans le monde.
Les Suédois sont généralement moins convaincus que l’IA peut générer différentes solutions. 60 % des Suédois ont une confiance minimale en ce qui concerne l’automatisation des commandes et des livraisons en fonction des achats passés, contre 41 % dans le monde. Seuls 10 % des personnes interrogées en Suède comptent entièrement sur l’IA lorsqu’il s’agit d’offres personnalisées sur mesure et de rappels pour acheter à nouveau en fonction des achats passés.
Ce sont surtout les consommateurs qui utilisent déjà l’IA de manière professionnelle qui sont sceptiques face à la technologie. Plus de la moitié d’entre eux craignent de perdre le contrôle sur les décisions d’achat et de livraison. Presque autant s’accordent à dire que les recommandations générées par l’IA sont biaisées et favorisent certains produits.
– Nous avons constaté que les consommateurs qui utilisent l’IA au travail sont plus conscients de la capacité de la technologie à influencer les décisions des gens dans la vie quotidienne. Nous constatons également que les consommateurs qui utilisent l’IA sur le lieu de travail sont les plus préoccupés par les conséquences potentielles. Indépendamment de la façon dont les consommateurs perçoivent différemment l’IA, les entreprises doivent comprendre que les modes de consommation évoluent rapidement à mesure que les consommateurs s’adaptent à une nouvelle réalité. Nous l’avons constaté notamment au cours de l’année écoulée, lorsque les consommateurs ont mis davantage l’accent sur le prix que, disons, sur le prix. expérience et pérennité. Les entreprises doivent comprendre et réévaluer les fluctuations aussi rapidement qu’elles peuvent créer de la valeur et de la confiance pour le consommateur, surtout en période difficile, explique Malin Andrée.
Si Indice de consommation future d’EY
Un indice récurrent qui analyse l’évolution du comportement et des attitudes des consommateurs à l’échelle mondiale au fil du temps. La 12e édition de l’EY Future Consumer Index a réuni 21 000 répondants aux États-Unis, au Canada, au Mexique, au Brésil, en Argentine, au Chili, au Royaume-Uni, en Allemagne, en France, en Italie, en Espagne, au Danemark, en Finlande, en Suède, en Norvège, en Australie et en Nouvelle-Zélande. et le Japon, la Chine, l’Inde, l’Indonésie, la Thaïlande, l’Arabie Saoudite, l’Afrique du Sud, le Vietnam, le Nigeria et les Pays-Bas. La Suède comptait 500 répondants. L’enquête a été menée entre le 16 mars et le 14 avril 2023.
Pour plus d’informations ou une entrevue avec Malin Andrée, contactez :
Stina Gustafsson, responsable des relations publiques, EY en Suède, 073-3550631, [email protected]
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