Le traitement TCC a aidé Angelica à surmonter sa colère

Angelica Lagergren a fait beaucoup de thérapie par la parole parce qu’elle voulait mieux gérer sa colère.

« Cela m’a ouvert les yeux lorsque j’ai réalisé que la colère me motive, pour le meilleur ou pour le pire », déclare Angelica, infirmière et influenceuse dans sa profession.

Angélique Lagergren

Âge: 37 ans.
Vie: Stockholm.
Famille: Fiancé, deux enfants et deux enfants bonus.
Faire: Infirmière et influenceuse.

Était très en colère quand j’étais enfant

Elle était tellement en colère depuis qu’elle était enfant et avait grandi avec une sœur jumelle qui était tout le contraire. Lorsqu’elle et sa sœur se disputaient lorsqu’elles étaient enfants, c’est la sœur qui s’en allait et s’enfermait dans sa chambre tandis qu’Angelica avait du mal à réprimer ses sentiments.

– Ma sœur jumelle a dû endurer beaucoup de ma colère. J’étais en colère, je criais, je claquais les portes et je refusais d’abandonner. J’ai toujours voulu résoudre les problèmes d’un seul coup et j’ai eu du mal à accepter que les autres veuillent prendre du recul. Ce qui a déclenché ma colère, c’est lorsque j’ai été confronté au silence.


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Dans la vie adulte d’Angelica, cela s’est manifesté principalement dans les relations amoureuses, mais aussi avec des amis proches.

– Cela a détruit les relations. «La colère s’exprimait dans le fait que j’utilisais souvent des mots méchants qui faisaient mal, des choses qu’on ne pouvait plus reprendre et qui laissaient des cicatrices profondes et difficiles à réparer», explique Angelica.

Après les explosions est venu le sentiment de culpabilité, de tristesse et de vide.

– Ce n’est pas seulement l’environnement qui est touché, cela provoque aussi une mauvaise conscience. Après ces crises, je me sentais toujours coupable et effrayé.

J’ai appris à être conscient

En thérapie, Angelica a reçu des outils pour gérer sa colère. Ce qui l’a le plus aidée, c’est de comprendre ce qu’elle pense et ce qu’elle ressent lorsqu’elle se met en colère, et comment la colère l’affecte à court et à long terme.

– La thérapie m’a sauvé ! J’ai dû apprendre à ralentir lorsque je sentais la colère monter. J’ai dû apprendre à apprécier les sentiments et à ne pas agir d’un seul coup. Avant, je ne pensais pas, je me précipitais comme un train. Aujourd’hui, je peux choisir quand je veux agir en fonction de ce sentiment particulier, et cela m’a rendu la vie tellement plus facile.

Qu’est-ce qui a le plus aidé ?

– C’est juste une question de ralentir et de ne pas réagir à la sensation. Ce qui m’a aussi aidé, c’est que j’ai compris mon comportement différemment. Je me suis assis avec ma sœur et je me suis excusé pour les choses que j’avais faites pendant notre enfance. C’était agréable de demander pardon et de le recevoir.

Lydie Brisbois

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