La France plus proche de la loi constitutionnelle sur l’avortement – Dagen

L’Assemblée nationale française a voté l’inscription du droit à l’avortement dans la constitution. Cela déplace la balle vers la chambre haute, le Sénat, dont les membres ont approuvé une proposition similaire en octobre.

La décision de la semaine dernière à la chambre basse du parlement a été adoptée après que les députés des partis de gauche et la coalition au pouvoir ont négocié un compromis. Il a ensuite été adopté par 337 voix pour, 32 contre.

« La loi garantit l’efficacité et l’égalité des chances pour l’avortement volontaire », est la phrase clé du nouvel article constitutionnel, écrit TT.

La loi est actuellement examinée par le Sénat français. S’il y est accepté, un référendum attend.

Ça ne sera pas facile. Depuis 1958, pas un seul amendement constitutionnel proposé de cette manière par un seul député n’a été mis en œuvre. Et cela est généralement dû à des contradictions entre l’Assemblée nationale et le Sénat, écrit-il De nombreux publics.

A démissionné du Sénat

Dès octobre, des tentatives ont été faites pour amender la constitution avec des écrits sur le droit à l’avortement et à la contraception. Puis il est resté au Sénatdont le Comité Judiciaire n’a pas trouvé la proposition correcte et a mis les membres au vote.

La tentative de constitutionnalité des droits à l’avortement est considérée comme le résultat direct des modifications apportées à la législation sur l’avortement aux États-Unis cet été. Là, la Cour suprême a statué cet été que les États sont libres de restreindre ou d’autoriser eux-mêmes l’accès à l’avortement.

Plus tôt cette année, le parlement français a voté pour étendre le droit à un avortement gratuit de 12 à 14 semaines de grossesse. Et entre juin et septembre, six propositions différentes ont été soumises au Parlement pour des droits constitutionnels à l’avortement.

– Faire de l’avortement une liberté fondamentale défendue par la Constitution française serait, selon nous, une décision grave qui réduirait à zéro la valeur de la vie à naître, déclare Franck Meyer, président du Comité protestant évangélique pour la dignité humaine, CPDH orientation évangélique.

En Suède, il existe un accord politique pour renforcer davantage le droit à l’avortement.

Selon l’accord Tidö, qui réglemente la coopération entre le gouvernement modérément dirigé et les démocrates suédois, des propositions doivent être élaborées « sur la manière dont l’État peut protéger le droit des femmes à l’avortement ».

Adelard Thayer

"Praticien dévoué de la culture pop. Créateur indépendant. Pionnier professionnel des médias sociaux."

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *