énergie
La cellule solaire est imprimée avec une imprimante à jet d’encre. Selon Dracula Technologies, il peut alimenter des appareils simples en fonction de la lumière naturelle ou des lampes de la pièce.
L’entreprise française appelle sa technologie Layer (Light As Your Energetic Response). Les cellules solaires organiques sont imprimées à l’aide d’imprimantes à jet d’encre, et la lumière naturelle ou les lampes de la pièce devraient être suffisantes pour que la cellule solaire alimente des appareils plus simples. C’est ce qu’écrit Dracula Technologies à ce sujet site web.
L’explosion imminente de l’Internet des objets devrait apporter une variété de capteurs IoT économes en énergie qui nécessitent encore de l’énergie, et ne pas avoir à se soucier du changement des piles constitue bien sûr un énorme avantage.
Le matériau des cellules solaires organiques est à base de carbone et, contrairement à de nombreuses batteries, ne contient ni terres rares ni plomb. Le développement de Layer a duré six ans, et en conséquence Crise technologique Dracula Technologies prévoit de démarrer la phase industrielle du projet en 2024, avec pour objectif de produire des millions d’unités par an.
La société suédoise Epishine travaille dans le même domaine avec ses cellules solaires organiques imprimées flexibles, ou cellules lumineuses comme on les appelle désormais. Ils ont été lancés plus tôt cette année.
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