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Depuis: Par Henricsson
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Neuf des dix demandeurs de brevets les plus travaillants encore en vie se trouvent chez Ericsson. Le dixième a une longue histoire chez le géant des télécoms. Les informations proviennent de PRV.
Il y a de l’incertitudePRV jette un pétard sous forme de résidus dans la base de données que les noms peuvent avoir été saisis de différentes manières, que deux inventeurs peuvent avoir le même nom et qu’un code d’adresse suédois doit être saisi dans l’application. |
L’Office suédois des brevets et de l’enregistrement a démarré à partir de la base de données Patstat et des demandes dites PCT (Patent Cooperation Treaty). Ils offrent la possibilité d’effectuer des examens de nouveauté et des évaluations préliminaires de brevetabilité pour environ 150 pays avec une seule demande dans une seule langue. Dans un second temps, vous déposez ensuite une demande de brevet dans les pays dans lesquels vous souhaitez une protection.
Le sondage de Patstat montre que Muhammad Kazmi a le plus de candidatures avec 604. Il travaille chez Ericsson depuis 21 ans et PTS l’a interviewé.
Dans quel domaine avez-vous vos applications ?
– Ils sont presque exclusivement dans les télécommunications mobiles : réseaux 4G, 5G et maintenant 6G. Je suis particulièrement fier de certains qui traitent des méthodes de mesure intégrées aux appareils. Ils nuisent aux performances mobiles des appareils.
Qu’est-ce que ça fait d’être en tête de liste ?
– Ça fait du bien, mais finalement le plus important c’est la qualité de mes inventions et brevets. Tant pour moi que pour les utilisateurs de la technologie. J’aime ce que je fais et Ericsson a un excellent environnement de travail qui vous encourage à proposer de nouvelles idées. J’ai également déposé de nombreux brevets auprès de mes confrères de la liste.
Le seul sur la liste qui ne travaille pas chez Ericsson est Bengt Lindoff de la start-up Beammwave. Cependant, il a une longue histoire avec le géant des télécoms.
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