Danser sans exigence renforce la santé mentale des jeunes filles

Grâce à la santé des élèves dans les écoles autour de Jönköping, les jeunes filles âgées de 13 à 18 ans peuvent avoir la possibilité de danser à Dansa Utan Krav pour atténuer les problèmes mentaux et physiques. La directrice du projet Amanda Lindberg et la directrice de la danse Elise Bosmyr disent que toutes les filles qui viennent à Dance Without Requirements ont des maux et des problèmes différents.

– Nous logions chez des ménagères qui retournaient à l’école. Seulement c’est un gros problème et c’est aussi un gain pour la société, estime Elise Bosmyr.

Danse sans prétention

Une étude à Örebro a jeté les bases de l’entreprise Dance Without Demands à Jönköping, qui est aujourd’hui une pièce importante du puzzle pour le bien-être des jeunes filles. Il est financé, entre autres, avec l’aide de la région du district de Jönköping et de plusieurs municipalités.

L’accent est mis sur le renforcement du bien-être des jeunes filles par la danse sans prétention. Étirer le pied droit ou gauche n’a pas d’importance dans les locaux de Dansa Utan Krav.

– C’est le ressenti dans le corps qui compte et c’est le plus important, dit Elise Bosmyr.

Utilisation ciblée

Surtout à Jönköping, l’activité Dansa Utan Oro s’adresse aux jeunes filles âgées de 13 à 18 ans. Les efforts ont été répartis dans plusieurs communautés du comté.

Les garçons sont-ils aussi les bienvenus ici ?

– Ici même à Jönköping, les efforts visent les filles car on voit que le besoin est là. D’autre part, nous avons des collègues qui disent qu’il y a des collègues au sein du réseau Dance Without Concern, où il y a aussi des activités pour les garçons, explique la responsable du projet Amanda Lindberg.

Lydie Brisbois

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