Environ un tiers de tous les appels reçus par SOS Alarme sont des appels manqués. L’exigence de la direction de ne répondre qu’aux appels d’urgence a donné pour instruction au personnel d’interrompre l’appel s’il ne parvient pas à joindre l’appelant dans les sept à huit secondes.
Après avoir travaillé cinq ans chez SOS Alarme, l’alarmiste a trouvé un nouveau patron. A cette époque, le lieu de travail avait de gros problèmes avec l’environnement de travail. C’était stressant et l’entreprise avait du mal à respecter les délais de réponse convenus. En partie à cause de problèmes techniques, car l’opérateur devait parfois changer de chaîne si les écouteurs ne fonctionnaient pas.
Une vérification ponctuelle a révélé que l’opérateur d’alarme avait plus d’appels d’alarme terminés que les autres opérateurs. Mais au lieu d’enquêter sur ce qu’il y avait derrière, elle a été appelée à la direction et licenciée.
Le syndicat lance une alerte SOS pour le licenciement
Au fil des ans, elle n’avait jamais eu de plaintes. Elle était également l’une des opératrices qui recevait le plus d’appels, ce qui peut expliquer pourquoi elle avait également plus d’appels aboutis, indique le syndicat dans son procès. Un appel terminé conduit également immédiatement à un nouvel appelant, de sorte que l’on ne sait pas ce que la centrale d’alarme aurait gagné en rejetant d’autres appels, écrivent les avocats du syndicat.
Le syndicat poursuit maintenant SOS-Alarm au nom du membre pour un total de 150 000 SEK.
Le confrère a contacté SOS Alarme, qui s’est refusé à tout commentaire sur l’affaire.
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