En matière d’énergie éolienne, la France a beaucoup de retard à faire par rapport au Danemark et à l’Allemagne, par exemple. Le président Macron veut maintenant compenser cela et faire construire davantage de parcs éoliens offshore. Les producteurs d’hydrogène vert veulent aussi en profiter.
Face à la hausse des prix de l’énergie, la France nucléaire recherche également de nouvelles sources d’énergie. Cependant, il faudra encore quelques années avant qu’il puisse être utilisé industriellement.
Hautes vagues
Il y a d’abord des tests : Par exemple, il convient de clarifier comment le réservoir d’électrolyse peut être équipé pour un temps orageux avec des vagues jusqu’à 15 mètres de haut.
Un rêve d’avenir sur lequel le président français Emmanuel Macron aimerait en savoir plus. Lui-même s’est récemment rendu en baie de Saint-Nazaire. L’ordre était d’inaugurer le premier parc éolien offshore du pays.
Un cadre visuel fort pour son annonce de doubler le rythme de déploiement des énergies renouvelables. D’ici 2050, selon Macron, « nous voulons produire 40 gigawatts d’électricité à partir de l’éolien offshore. Pour cela, nous avons besoin de 50 parcs éoliens offshore.
Décisions allemandes plus rapides
Car en comparaison européenne, le pays est à la traîne : les 81 premières éoliennes offshore françaises sont désormais en service au large de Saint-Nazaire – en Allemagne, il y en a déjà 1 500. Alors qu’en Allemagne, il faut six ans entre la décision et la mise en service, à Saint- Nazaire ça prend Nazaire a duré près de onze ans.
Macron dit vouloir accélérer le déploiement des énergies renouvelables : Une nouvelle loi vise à faire trois choses :
– « Simplifier les procédures, identifier les emplacements adaptés et partager la valeur ajoutée. »
Macron a également annoncé que le gouvernement modifierait les règles des audiences. En cas de litige, l’autorité concernée devra faire appel dans un délai de dix mois :
– De cette façon, nous réduisons la durée totale du processus à un maximum de deux ans et demi, a déclaré Macron
« Érudit en musique. Accro du Web professionnel. Ninja typique des réseaux sociaux. Troublemaker primé. Adepte de la culture pop diabolique. »