Plusieurs personnes sont toujours portées disparues après les fortes pluies. Dans plusieurs communes des Alpes Maritimes, à la frontière entre le sud de la France et le nord de l’Italie, les rues se sont transformées en rivières boueuses coulant entre les maisons. Les routes se sont effondrées et les maisons en pierre se sont effondrées sur les flancs des collines. À certains endroits, après des glissements de terrain, seuls les toits dépassent de la boue.
Il y en a encore beaucoup Les gens sont complètement coupés du monde extérieur. Un habitant de la communauté française de Breil-sur-Roya le qualifie de surréaliste.
« Nous n’avons pas d’électricité, pas de lumière, pas de téléphone et pas d’internet », raconte le vieil homme à la chaîne de télévision BFMTV.
Les autorités locales décrivent cela comme si une bombe météorologique avait frappé. 1 000 secouristes sont mobilisés et les recherches des disparus se poursuivent. Les proches qui ne savent pas ce qui est arrivé aux membres de leur famille pleurent lorsqu’ils revoient leurs proches aux points de collecte.
Selon l’agence météorologique française, il est tombé plus de pluie en une journée que d’habitude en trois mois à cette époque. Le maire de Nice affirme que ces inondations sont les pires que la région ait connues depuis plus d’un siècle.
Un autre résident de Maritima Alperna qui nettoie sa maison le décrit comme si un océan avait rempli la maison d’objets flottants ce week-end.
Le ministre de l’Intérieur Jean Castex ont survolé la zone sinistrée et le président Emmanuel Macron devrait également s’y rendre dans la semaine. Le gouvernement a activé son plan d’urgence en cas de catastrophe naturelle. Les hommes politiques italiens de Ligurie et du Piémont exigent la même chose du gouvernement de Rome.
Les tempêtes récurrentes avec fortes pluies et inondations sont souvent décrites par les autorités françaises et le gouvernement comme un impact du changement climatique. Il y a cinq ans, 20 personnes sont mortes lorsque la Côte d’Azur a été durement touchée.
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