Suède 500 ans – cinq siècles, cinq livres 23 juin 2023 – P1 Kulturreportage

P1 Kultur a mené cette expérience folle avant la fête nationale du 6 juin. Pour Midsummer’s Eve, nous avons maintenant relié une couronne de fleurs – ou une tapisserie tissée – à partir des sélections de littérature des cinq spécialistes.

Certaines des sélections de livres sont profondément personnelles, d’autres sont tout aussi profondément basées sur la façon dont ce livre particulier a construit la Suède en tant que nation. Certains sont édifiants et réconfortants. Quelqu’un peut être lu comme un modèle, un divertissement et un exemple d’horreur. Simultanément.

Nous entendons d’abord l’universitaire littéraire Ingrid Elam parler à Mattias Berg de l’éditeur de culture de son choix de la période 1523-1623 : la Bible de Gustav Vasa, parue en 1541.

Puis l’auteur et nouvelle académicien Anna-Karin, qui raconte à notre journaliste Jenny Teleman à quel point le poète du XVIIe siècle Lasse Lucidor est devenu important pour elle – à la fois en tant que parolier et en tant que figure sous la pierre tombale.

Puis Johan Hilton, directeur culturel du Göteborgs-Posten, choisit le poème « Friend in the Hour of Destruction » d’Erik Johan Stagnelius de 1723 à 1823, qui lui offrit soutien et réconfort à deux périodes particulières de sa vie. La journaliste ici est Lina Kalmteg.

L’avant-dernière est l’auteure Gabriella Håkansson, qui opte pour le roman d’August Strindberg « En dåres försvarstal ». Il a été écrit pour la première fois en français à la fin du XIXe siècle et n’est apparu en suédois qu’après la mort de Strindberg. « Pour le meilleur ou pour le pire, une jeune femme d’aujourd’hui peut absolument s’identifier à cette amusante représentation d’horreur de la psychopathologie d’un homme », a déclaré Håkansson à notre journaliste Jesper Cederstrand.

Celui qui met fin à la chronologie est le responsable culturel d’Expressen, Victor Malm. Il a choisi le roman Mästaren Ma de Willy Kyrklund du siècle dernier de l’histoire suédoise moderne. Il a été publié en 1952 et a donné à Malm une toute nouvelle perspective sur les possibilités de la littérature suédoise. La journaliste ici est Maria Askerfjord Sundeby.

Enfin, la spécialiste littéraire Ingrid Elam est autorisée à conclure le programme et à jeter un œil à toutes les options. Quelle image véhiculent-ils de la littérature suédoise ? Est-ce juste ? Et quelle est la chose la plus importante dans cette sélection extrêmement restreinte ? pas venir?

La narratrice du programme est Nina Asarnoj. La musique est tirée de la Symphonie n° 1 en ut mineur de Ture Rangstrom et de la Symphonie n° 3 en ut majeur de Franz Berwald.

Producteur : Mattias Berg
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Aurélie Jacques

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